Recherche par date : / LATTES
- GAP_Diagnostic et prise en charge des infections gynécologiques basses
Date de début : 15/05/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
- GAP_Diagnostic et prise en charge des infections gynécologiques basses
Date de début : 27/03/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
- GAP_Diagnostic et prise en charge des infections gynécologiques basses
Date de début : 10/04/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
- GAP_Diagnostic et prise en charge des infections gynécologiques basses
Date de début : 12/06/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
52491900050 - GAP_Ethique de la décision médicale
Date de début : 11/06/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Objectifs | |
Proposer une approche conforme aux spécificités qui caractérisent l’éthique, la différencie des normes juridiques, morales et déontologiques et permettre d’en préciser le champ. - Positionner la réflexion dans la pratique professionnelle en termes de bénéfices pour les personnes accompagnées et les professionnels. Le participant pourra : 1. Décrire sa pratique par rapport aux besoins et à la qualité du service rendu au patient 2. Organiser sa pratique dans un dispositif d’EPP pérenne Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas. |
|
Description | |
L’éthique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s’intéresse à nos rapports avec autrui. Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idéaux à réaliser. À l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. À l’échelle collective, l’imposition de règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé. En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie. Le code de déontologie aide à comprendre l’engagement social en énonçant les devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe. La déontologie, comme tous les systèmes de règles, a cependant des limites. La réflexion éthique devient donc nécessaire pour résoudre les cas complexes et les conflits de valeurs. Les médecins ne sont pas guidés par leurs préférences personnelles. Ils font des choix rationnels et sont capables de les justifier. La réflexion éthique permet de déterminer les valeurs qui constituent des raisons d’agir acceptables par l’ensemble de la société, par les médecins qui partagent l’idéal de pratique et, au niveau particulier, par les patients et leur entourage touchés par une décision. L’objectif de cette formation est de permettre à chaque médecin à partir de son expérience vécues dans sa pratique, confrontés aux cas pratiques proposés, d’analyser les tensions mises en jeu entre les principes, les valeurs, les émotions qui posent problème ou font dilemmes dans la décision médicale Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas sur le thème de « l’éthique de la décision médicale ». |
52491900050 - GAP_Ethique de la décision médicale
Date de début : 28/05/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Objectifs | |
Proposer une approche conforme aux spécificités qui caractérisent l’éthique, la différencie des normes juridiques, morales et déontologiques et permettre d’en préciser le champ. - Positionner la réflexion dans la pratique professionnelle en termes de bénéfices pour les personnes accompagnées et les professionnels. Le participant pourra : 1. Décrire sa pratique par rapport aux besoins et à la qualité du service rendu au patient 2. Organiser sa pratique dans un dispositif d’EPP pérenne Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas. |
|
Description | |
L’éthique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s’intéresse à nos rapports avec autrui. Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idéaux à réaliser. À l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. À l’échelle collective, l’imposition de règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé. En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie. Le code de déontologie aide à comprendre l’engagement social en énonçant les devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe. La déontologie, comme tous les systèmes de règles, a cependant des limites. La réflexion éthique devient donc nécessaire pour résoudre les cas complexes et les conflits de valeurs. Les médecins ne sont pas guidés par leurs préférences personnelles. Ils font des choix rationnels et sont capables de les justifier. La réflexion éthique permet de déterminer les valeurs qui constituent des raisons d’agir acceptables par l’ensemble de la société, par les médecins qui partagent l’idéal de pratique et, au niveau particulier, par les patients et leur entourage touchés par une décision. L’objectif de cette formation est de permettre à chaque médecin à partir de son expérience vécues dans sa pratique, confrontés aux cas pratiques proposés, d’analyser les tensions mises en jeu entre les principes, les valeurs, les émotions qui posent problème ou font dilemmes dans la décision médicale Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas sur le thème de « l’éthique de la décision médicale ». |
52491900050 - GAP_Ethique de la décision médicale
Date de début : 16/04/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Objectifs | |
Proposer une approche conforme aux spécificités qui caractérisent l’éthique, la différencie des normes juridiques, morales et déontologiques et permettre d’en préciser le champ. - Positionner la réflexion dans la pratique professionnelle en termes de bénéfices pour les personnes accompagnées et les professionnels. Le participant pourra : 1. Décrire sa pratique par rapport aux besoins et à la qualité du service rendu au patient 2. Organiser sa pratique dans un dispositif d’EPP pérenne Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas. |
|
Description | |
L’éthique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s’intéresse à nos rapports avec autrui. Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idéaux à réaliser. À l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. À l’échelle collective, l’imposition de règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé. En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie. Le code de déontologie aide à comprendre l’engagement social en énonçant les devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe. La déontologie, comme tous les systèmes de règles, a cependant des limites. La réflexion éthique devient donc nécessaire pour résoudre les cas complexes et les conflits de valeurs. Les médecins ne sont pas guidés par leurs préférences personnelles. Ils font des choix rationnels et sont capables de les justifier. La réflexion éthique permet de déterminer les valeurs qui constituent des raisons d’agir acceptables par l’ensemble de la société, par les médecins qui partagent l’idéal de pratique et, au niveau particulier, par les patients et leur entourage touchés par une décision. L’objectif de cette formation est de permettre à chaque médecin à partir de son expérience vécues dans sa pratique, confrontés aux cas pratiques proposés, d’analyser les tensions mises en jeu entre les principes, les valeurs, les émotions qui posent problème ou font dilemmes dans la décision médicale Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas sur le thème de « l’éthique de la décision médicale ». |
- GAP_Prévention et prise en charge des lésions cancéreuses et non cancéreuses dues au virus HPV (orales, anales et gynécologiques)
Date de début : 19/03/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Pour qui? : |
Médecins généralistes, gynécologues, gastroentérologues |
Description | |
En France, le dépistage du cancer du col de l’utérus est fondé sur l’examen cytologique d’un frottis cervico-utérin (FCU) tous les trois ans (entre 25 et 65 ans) après 2 FCU normaux réalisés à un an d’intervalle. Si l’examen cytologique révèle un frottis ASC-US une des possibilités de conduite à tenir est la recherche qualitative du génome (ADN) des HPV oncogènes. Celle-ci est réalisée à partir d’un frottis en phase liquide, elle se déroule en plusieurs étapes : le prélèvement, le transport et la conservation, la libération de l’ADN et la détection des acides nucléiques. Le prélèvement est réalisé le plus souvent par un gynécologue, mais également par d’autres professionnels de santé (médecin généraliste, sage-femme, …). Le FCU peut être prélevé uniquement pour la recherche des HPV ou avoir préalablement servi à la cytologie.(2) Le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) emploie une technologie moléculaire pour détecter l’acide nucléique du VPH dans les cellules ou les sécrétions cervico- vaginales prélevées au niveau du col. Il vise l’identification de génotypes viraux à haut risque (aussi appelés oncogéniques) permettant ainsi d’identifier les femmes qui sont plus susceptibles d’avoir des lésions précancéreuses, donc plus à risque de développer un cancer du col de l’utérus.(3) Les cancers de l’oropharyngés et anaux (1) induits par les papillomavirus oncogènes constituent une pathologie distincte des autres cancers des voies aérodigestives supérieures et inférieures, comme en attestent leurs spécificités épidémiologiques, cliniques, histologiques et biologiques. Ces cancers, dont l’incidence augmente dans de nombreux pays occidentaux, suscitent de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne leur histoire naturelle, leur mécanisme oncogénique et la personnalisation de leur prise en charge thérapeutique. Chez les patients transplantés d’organe solide, l’incidence des infections à HPV est environ 17 fois plus élevée que chez les personnes immunocompétentes, avec un risque plus élevé d’évolution vers des lésions tumorales ano-génitales. A ce jour, deux vaccins inactivés sont disponibles permettant chez les sujets immunocompétents de diminuer l’incidence et la persistance de l’infection à HPV, et réduisent la survenue des lésions pré-cancéreuses génitales. L’efficacité de ces vaccins chez les patients transplantés reste à évaluer. (4) Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur les pathologies en rapport avec les infections à HPV. |
- GAP_Prévention et prise en charge des lésions cancéreuses et non cancéreuses dues au virus HPV (orales, anales et gynécologiques)
Date de début : 02/04/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Pour qui? : |
Médecins généralistes, gynécologues, gastroentérologues |
Description | |
En France, le dépistage du cancer du col de l’utérus est fondé sur l’examen cytologique d’un frottis cervico-utérin (FCU) tous les trois ans (entre 25 et 65 ans) après 2 FCU normaux réalisés à un an d’intervalle. Si l’examen cytologique révèle un frottis ASC-US une des possibilités de conduite à tenir est la recherche qualitative du génome (ADN) des HPV oncogènes. Celle-ci est réalisée à partir d’un frottis en phase liquide, elle se déroule en plusieurs étapes : le prélèvement, le transport et la conservation, la libération de l’ADN et la détection des acides nucléiques. Le prélèvement est réalisé le plus souvent par un gynécologue, mais également par d’autres professionnels de santé (médecin généraliste, sage-femme, …). Le FCU peut être prélevé uniquement pour la recherche des HPV ou avoir préalablement servi à la cytologie.(2) Le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) emploie une technologie moléculaire pour détecter l’acide nucléique du VPH dans les cellules ou les sécrétions cervico- vaginales prélevées au niveau du col. Il vise l’identification de génotypes viraux à haut risque (aussi appelés oncogéniques) permettant ainsi d’identifier les femmes qui sont plus susceptibles d’avoir des lésions précancéreuses, donc plus à risque de développer un cancer du col de l’utérus.(3) Les cancers de l’oropharyngés et anaux (1) induits par les papillomavirus oncogènes constituent une pathologie distincte des autres cancers des voies aérodigestives supérieures et inférieures, comme en attestent leurs spécificités épidémiologiques, cliniques, histologiques et biologiques. Ces cancers, dont l’incidence augmente dans de nombreux pays occidentaux, suscitent de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne leur histoire naturelle, leur mécanisme oncogénique et la personnalisation de leur prise en charge thérapeutique. Chez les patients transplantés d’organe solide, l’incidence des infections à HPV est environ 17 fois plus élevée que chez les personnes immunocompétentes, avec un risque plus élevé d’évolution vers des lésions tumorales ano-génitales. A ce jour, deux vaccins inactivés sont disponibles permettant chez les sujets immunocompétents de diminuer l’incidence et la persistance de l’infection à HPV, et réduisent la survenue des lésions pré-cancéreuses génitales. L’efficacité de ces vaccins chez les patients transplantés reste à évaluer. (4) Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur les pathologies en rapport avec les infections à HPV. |
- GAP_Prévention et prise en charge des lésions cancéreuses et non cancéreuses dues au virus HPV (orales, anales et gynécologiques)
Date de début : 12/03/2019 Lieu : LATTES Pré-inscription |
Organisateur : |
Dr NGHIEM-WICHEGROD Hélène |
Expert : |
|
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_GAP) |
Pour qui? : |
Médecins généralistes, gynécologues, gastroentérologues |
Description | |
En France, le dépistage du cancer du col de l’utérus est fondé sur l’examen cytologique d’un frottis cervico-utérin (FCU) tous les trois ans (entre 25 et 65 ans) après 2 FCU normaux réalisés à un an d’intervalle. Si l’examen cytologique révèle un frottis ASC-US une des possibilités de conduite à tenir est la recherche qualitative du génome (ADN) des HPV oncogènes. Celle-ci est réalisée à partir d’un frottis en phase liquide, elle se déroule en plusieurs étapes : le prélèvement, le transport et la conservation, la libération de l’ADN et la détection des acides nucléiques. Le prélèvement est réalisé le plus souvent par un gynécologue, mais également par d’autres professionnels de santé (médecin généraliste, sage-femme, …). Le FCU peut être prélevé uniquement pour la recherche des HPV ou avoir préalablement servi à la cytologie.(2) Le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) emploie une technologie moléculaire pour détecter l’acide nucléique du VPH dans les cellules ou les sécrétions cervico- vaginales prélevées au niveau du col. Il vise l’identification de génotypes viraux à haut risque (aussi appelés oncogéniques) permettant ainsi d’identifier les femmes qui sont plus susceptibles d’avoir des lésions précancéreuses, donc plus à risque de développer un cancer du col de l’utérus.(3) Les cancers de l’oropharyngés et anaux (1) induits par les papillomavirus oncogènes constituent une pathologie distincte des autres cancers des voies aérodigestives supérieures et inférieures, comme en attestent leurs spécificités épidémiologiques, cliniques, histologiques et biologiques. Ces cancers, dont l’incidence augmente dans de nombreux pays occidentaux, suscitent de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne leur histoire naturelle, leur mécanisme oncogénique et la personnalisation de leur prise en charge thérapeutique. Chez les patients transplantés d’organe solide, l’incidence des infections à HPV est environ 17 fois plus élevée que chez les personnes immunocompétentes, avec un risque plus élevé d’évolution vers des lésions tumorales ano-génitales. A ce jour, deux vaccins inactivés sont disponibles permettant chez les sujets immunocompétents de diminuer l’incidence et la persistance de l’infection à HPV, et réduisent la survenue des lésions pré-cancéreuses génitales. L’efficacité de ces vaccins chez les patients transplantés reste à évaluer. (4) Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur les pathologies en rapport avec les infections à HPV. |